Cérémonie de mariage d'Elfriede/Circa et de Katarina/Leif

Dina regarda en souriant le merveilleux petit garçonnet blond qu'elle voyait pour la première fois et qui lui rappelait Salb.

Soudain son regard fut attiré par la mariée qui arrivait. Elle répondit d'un signe de tête amical au salut de Katarina qui resplendissait de bonheur.
Une mariée était souvent belle, mais Katarina était au delà de la beauté... Elle qui se rappelait d'une femme effacée, avait du mal à la reconnaitre dans cette lumineuse future mariée. Tout en admirant la robe de princesse qu'elle portait avec grâce, Dina se demanda où était Elfriede...

Comme par enchantement sa nièce se matérialisa à leurs côtés et elle assista avec émotion aux retrouvailles d'Alambyk et de sa fille. Il était temps que ces deux-là renouent un peu...
Toujours souriante, Dina embrassa Elfriede en la complimentant sur sa tenue.

Tu fais une extraordinaire mariée Elfriede.
Je te souhaite tout le bonheur possible, tu le mérites.
J'espère que le futur époux connait sa chance ^^

N'oubliant pas de saluer Gothy avec qui elle avait sympatisé dernièrement, Dina suivit Alambyk et alla embrasser Peg, Idril et Beren...

Qu'est-ce qu'ils ont grandi ces deux là ! J'ai eu bien du mal à les reconnaitre.

Comment vas-tu ma chérie ?
J'ai appris pour les petits malades.
Je n'ai osé passer, pensant que Hart et toi aviez besoin de vous retrouver un peu seuls.
Sache que je suis là...

Toujours enfermé dans son laboratoire ton époux ?
Faut que je passe le voir pour lui tirer les oreilles... A-t-on idée de laisser sa femme seule !

Dina sentit à se moment là le regard de sa soeur sur elle, comme un appel au secours. Tournant la tête, elle sut ce que vivait Alam et la prenant par le coude, la pressa contre elle.

Et si nous allions prendre place soeurette ?
Un petit coin tranquille d'où nous pourrons tout voir, n'est-ce pas ?
A plus tard Peg !

Carrosse, cheval, carrosse, cheval. Tel était le premier dilemme de la journée. Un peu de route pour rejoindre Salin les bains depuis Forbach ... La rapidité, le confort ... Il fallait choisir rapidement sinon il serait en retard et se serait mal vu en se jour.
Il choisit finalement le cheval, plus rapide, mais en fait plus agréable pour lui le soldat.
Malgré le froid, le Prime Capitaine Impérial et sa garde, traversèrent la route en quelques heures, bravant tous les dangers.

Arrivé a Salin, Niconoss descendit de son cheval, et ordonna aux autres de rester ici ...
Il se présenta, et comme il connaissait le chemin, se rendit directement a la chapelle.

En retard comme souvent ou presque, il regardait si on l'attendait ou pas ... Ce qui ne semblait pas être le cas, il rentra donc se mit plus ou moins dans le fond et attendit que la cérémonie commence pour s'avancer, il cherchait des gens qu'il connaissait du regard mais ne voulait pas les déranger.

Il attendit donc qu'on s'occupe de lui.

[hrp]en fait je suis absent jusqu'à mercredi, il me semble bien que mon perso est le témoin de circa donc faudra m'attendre un peu, vraiment dsl ... Que la marié ne tue pas mon perso [/hrp]

Erine, aux côtés de Bobyzz, regarda Gallena, suivit par son fiancé et l'une de ses filleules faire son entrée vers la Chapelle. Elle leur sourit, et leur fit la bise

Je suis contente de te voir Ghoty. Entrez vous s’installer tous les trois, il ne fait pas chaud aujourd’hui. fit-elle en souriant

Elle regarda sa petite fille Héloïse qu'elle tenait par la main et s'adressa ensuite à son mari

Je vais retourner à l’intérieur m'installer. Héloïse se refroidit et moi aussi. Elle lui déposa un baiser sur la joue et entra avec son enfant.

Alors qu'elle s'avança de plus en plus vers l'autel, elle remarqua la présence de Dina, d'Alambyk et de ses enfants. Elle avait revu Dina il y a quelques semaines lors d’une fête chez Isobelle. Mais cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait plus revu celle qui fut son amie autrefois. Les mois, les années, les avaient séparés.

Elle avait été prévenue par sa filleule, Elfriede, qu'Alambyk serait présente en ce jour si important pour elle. Ce qui ravit le cœur de la Comtesse, Elfriede aurait eu beaucoup de peine si sa mère n’avait pu faire le déplacement. Elle ne s’approcha pas des deux sœurs mais elle leur adressa un sourire de contentement. Elle irait les saluer après la cérémonie.
Elle s’arrêta un instant pour se retourner, elle avait entendu la douce voix de sa belle-sœur et elle avait surtout entendu, Leif, crier le nom de sa promise. Elle la regarda, elle était magnifique. Elle fut légèrement bousculée par celui qui allait devenir son beau-frère.

Ohhh, voyons, faites attention très cher.

Erine posa une main sur son ventre et regardait le jeune homme courir vers sa belle-sœur. Elle pensa : « en voila un qui est amoureux. Il court, il court. »
Erine s’adressa à sa fille:

Ma chérie, je pense que ta tante te donnera bientôt d’autres cousins et cousines pour jouer. Ils ont l’air bien épris l’un de l’autre.

Elle sourit, malgré la légère bousculade. Ils étaient si beaux et si heureux. Ce qui plongea Erine dans ses souvenirs. Elle se remémora le discours de Bobyzz et le sien lors de leur mariage religieux. Les mots prononcés, la présence de leurs amis et de leurs familles. Ce jour, était l’un des plus beaux qu’Erine avait vécu.
Elle regarda son enfant avec fierté et amour dans le regard, se disant que d’ici quelques années, elle assistera en tant que mère, au mariage de ses filles. Elle n’était vraiment pas prête pour que des hommes lui prennent ses filles. Elle espérait garder ses filles auprès d’elle pendant encore de longues années.
Héloïse tira légèrement sur la robe de sa maman. Ce geste surpris Erine et la sorti de ses pensées.

Viens ma chérie, allons prendre place.

Elles s’installèrent au premier rang lorsqu’Elfriede fit son entrée. Loin de l’entrée, Erine plongea son regard sur elle. Elle la trouvait splendide de là où elle se trouvait.

C'est aux cotés de sa tendre fiancée Gallena et de sa sœur que Clad salua respectueusement les personnes qui arrivaient aux mariages, il y avait du monde petit a petit et certains inconnu au jeune homme et d'autre non.
Serrant sa compagne contre lui pour la tenir au chaud, il aperçut a l'intérieur de la chapelle la première mariée dans une tenue des plus ravissante qu'il soit.

Il pensa tout a coup que bientôt se serait sa douce qui serait dans une tenue semblable pour leurs unions. Cette pensée le fit sourire, impatient d'arriver a cette date qui lui restera a jamais gravé dans son sœur.
Ce fut au tour d'Elfriede de faire son apparition, aussi sublime que sa cousine Katarina, se penchant vers Gallena, il lui murmura: J'ai hâte de vous voir le jour J dans la votre.
Erine les rejoignant tout les trois, ils la suivirent a l'intérieur et s'installèrent a ses cotés pour suivre la cérémonie.

Azalée guidée par son fiancé avance jusqu'au banc réservé. Elle apprécie la douce caresse de Victor, le baiser tendre la rassure.

Elle lui sourit avant de répondre à sa question:

Victor, j'ai assisté à de nombreux mariages, j'ai parfois été témoin.Tout dépend du prêtre qui officie. Il appelle les témoins lorsque leur présence est nécessaire. Rassurez-vous, s'il avait voulu qu'il en fut autrement, le père Tully vous l'aurait fait savoir.

Elle caressa tendrement le bras de son fiancé, les yeux verts ne quittant pas les yeux bleus.

Bientôt, le père Tully nous mariera. J'ai hâte d'être à ce jour,

Azalée vit arriver une belle jeune femme, qui avait un air de famille indéniable avec son fiancé.

Citation :

Bonjour, enchantée de vous connaitre.

Elle sourit à la jeune femme.

Bonjour demoiselle. Ainsi vous êtes la soeur de Victor. Je suis enchantée de vous connaître.

La famille Sparte était en pleine effervescence ces jours-ci, baptêmes et mariages se succédaient.
Elle entra dans la chapelle où elle vit déjà un tas de gens présents pour les deux mariages qui allaient se dérouler sous peu.
L'aînée des Spartes salua tout le monde en commençant par la famille proche.

Elle vit ensuite un peu plus loin dans la pièce deux visages qu'elle n'avait plus vu depuis très longtemps, trop longtemps même.
Elle s'approcha pour être sûre que c'était bien elles.
Un sourire se dessina sur son visage, elle s'avança alors vers Alam et Dina.

Bonjour toutes les deux, j'ai failli ne pas vous reconnaître!
Comment allez-vous ? Ca faisait tellement longtemps!
Je suis ravie de vous revoir, vous semblez être en forme.

Azalée sentait qu'une tendre complicité liait le frère et la soeur. Elle aussi avait eu un jumeau: elle ne l'avait su qu'à la mort de son parrain et cardinal Norv.

Elle n'avait pu le retrouver à temps: il était mort peu après, alors qu'elle venait d'avoir des nouvelles du Grand Maître teutonique qui s'était engagé à le rechercher. Pourquoi Norv avait placé son jumeau chez les moines? Elle ne le saurait jamais. Il s'était chargé d'élever la petite fille qu'elle était et l'avait séparée de son frère. Elle se força à ne plus penser ce passé qu'elle ne pourrait jamais éclairer pour sourire à la jumelle de son fiancé.

Citation :

Je vais vous laisser et rejoindre mon fiancé en espèrant vous voir autour de notre table pour la grande célèbration de Noel. Un paquet vous y attend à chacun.

Ce sera avec plaisir, Demoiselle. Nous pourrons ainsi faire plus ample connaissance.

La duchesse suit du regard la jeune fille partie rejoindre son fiancé.

Crro avait rudement mené son cheval toute la journée afin d'arriver en temps et en heure.
Le rouquin avait une invitation dans la poche de sa veste.
Il revenait d'un bref séjour en lorraine, où il s'était rendu pour affaire, et n'avait pas eu le temps de rentrer à Pontarlier pour y déposer son chargement ni se changer. Qu'importe ; même chez lui il n'avait pas de vêtements reluisants, et il ne transportait que quelques stères de bois, des peaux, une hache émoussée, une echelle, son épée et des vivres pour une semaine.

La journée était déjà bien entâmée lorsqu'après avoir passé un petit coteau, il aperçut la ville de salin les bains. La pluie de la matiné avait lavé le ciel, et le paysage était d'une grande pureté.
Sa monture se faisait moins docile, et Crro du se résoudre à lui accorder un temps de répis. Il se laissa glisser au sol, pas mécontent de se dégourdir les jambes, et alla soulever la bache qui recouvrait sa cariole. Un sifflement suffit à rameuter son chien, un batard nerveux, qui se vit gratifié d'un bout de viandre crue. L'animal s'éloigna sans demander son reste afin de savourer son repas en paix.

Une fois arrivé à destination, le voyageur se fit connaître au poste de garde puis retira l'attelage de son cheval, qui devait être soulagé de pouvoir se rafraîchir à l'abreuvoir. Crro attacha le chien à la charette à l'aide d'une rebuste corde en s'assurant du lui laisser assez de mou pour lui permettre de tenir à distance les curieux en son absence.

Allez Occo, sois sage! Protege bien Potoc et la cariole, d'accord? fit-il au chien noir d'une voix à la fois amicale et autoritaire, avant de lui flatter la tête.

Il se rendit directement à la chapelle, craignant d'être en retard. Il avait hâte d'y être, en partie parce que ses pieds étaient trempés et qu'il ne sentait plus ses doigts, mais aussi parce qu'il brûlait de revoir Elfriede. Il lui avait promis d'être toujours là pour elle, et était fermement attaché à ce serment.
En traversant le parvis de Saint Sylphaël, Crro croisa de nombreuses personnes, connues pour un bon nombre, de près ou de loin. Il salua chacun de ceux qui croisaient son regard, les gratifiant d'un sourire pour tenter de devier leur attention de sa tenue.
Reconnaissant alors une silhouette de dos, entourée de marmaille, Crro se precipita en direction de sa soeur. Elle ne l'avait pas vu. Il s'arrêta derrière elle sans faire de bruit,lança un regard complice à Pegasine qui lui faisait face, puis déposa un baiser fraternel sur la tempe de Saramarinettee.

Salut toi.. fit-il en s'écartant

Pégasine vit arriver Crro et souri en voyant la réaction de Sara.
Le temps que Sara s'inquiète de l'état de son frère Pégasine avait déplacé les enfants pour qu'ils discutent tous les 4 ensembles en chuchotant.

Cette journée s'annonçait pour la jeune Capitaine comme exceptionnelle. Non seulement celle qu'elle appellait sa "petite soeur" se mariait mais en plus Maman Alambyk et Papa Crro était présents.

Bonjour Papa Crro, pas de problème sur les chemins?

En écoutant Sara dire qu'elle ne se sentait pas à sa place elle lui sera de nouveau la main. Cette impression elle l'avait eu aussi avant d'oublier les couronnes et autres belles tenues.

Tantine, oublies les couronnes et autres signes de noblesse et regardes
C'est juste Elfriede qui se marie aujourd'hui, la fille d'Alambyk et Salbator.
C'est pour elle que tu es là, oublies le reste.