Cérémonie de mariage de Jade de Sparte et Flavien Von Frayner

Pegasine récita le crédo, une main sur son ventre.
Elle avait foi en Aristote et lui adressa en même temps une prière muette pour la bonne santé de son futur enfant.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Princess suivait le mariage de son amie Jade du fond de la chapelle
la jeune femme d'une vingtaine d'année priait de tout son coeur pour que sa vie continue a bien se dérouler..
elle eut un sourire avant de réciter le Credo, pour son Tendre et si Doux ami qu'elle avait comme foliot..
elle ferma ces yeux gris vert, et commença..

Cérémonie de mariage de Jade de Sparte et Flavien Von Frayner - Page 3 Credom

Pendant que les mariés et invités récitèrent à voix plus ou moins fortes le credo. La chapelaine ouvrit son livre des vertus, elle allait lire le passage traditionnellement choisi pour les mariages portant que l'Amour.

Je vais vous livre, à présent, un passage du Livre des Vertus

Citation :: Livre de la Création
Chapitre VII - «L’amour »

1 Dieu ne répondit pas à la créature qui avait fait l’apologie de la domination du fort sur le faible.

2 Il se tourna vers un groupe de créatures. C’était justement celui qui faisait partie de l’espèce humaine et qui avait parcouru le monde. Dieu savait que ce groupe se croyait rejeté par Lui. Ces humains pensaient être privés de tout talent. Ils estimaient être mis à l’écart de la création du fait de leur prétendue infériorité. Mais, parmi eux, l’humain qui portait le nom d’Oane détenait, sans en être sûr, la réponse à la question posée par le Très Haut.

3 Car Oane doutait. Il regardait souvent les étoiles, espérant voir Dieu. Il aimait le Très Haut d’un amour sincère, mais ne savait pas si cela était le véritable sens de la vie. Il voulait bien donner sa réponse, mais il était considéré comme faible d’esprit par son groupe et personne ne voulait le laisser parler. Mais Dieu était omnipotent. Il avait écouté le groupe d’humains se plaindre. Mais surtout, Il avait perçu l’amour et le doute dans le coeur d’Oane.

4 Alors, depuis le ciel, un rayon de lumière se fit et vint nimber Oane. Toutes les créatures furent ébahies, admirant la douce lumière qui auréolait l’humain. Elles s’écartèrent alors, le laissant seul face à Dieu. Il contempla son corps enluminé d’un regard plein de curiosité. Puis il se tourna vers les membres de son groupe. Pour la première fois de sa vie, il put voir dans leur regard non pas du mépris mais du respect.

5 Et Dieu lui demanda: "Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre ? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire !" Alors, Oane, terrifié par le ton sévère de son créateur, leva les yeux vers Lui et, d’un ton hésitant, dit: "Mais, ô Très Haut, je ne sais si ma réponse est juste..." Et Dieu lui ordonna: "Parle et je te le dirai !"

6 Alors, Oane répondit: "Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur."

7 "C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous de t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créés alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste."

8 Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour." Alors Dieu dit: "Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes."

Elle marqua une pause puis poursuivit.

Maintenant les futurs mariés et leurs témoins respectifs doivent me rejoindre devant l'autel.

Dame Yarwelh de Lacombe et Messire Goclad Von Dumb, êtes vous prêts a témoigner de votre présence, l'union de Messire Flavien Von Frayner et de Mademoiselle Jade de Sparte ?

La Chapelaine attendit que les témoins donnent leurs réponse.

La jeune lorraine avait assisté à l'entrée de la mariée, comme tout un chacun, silencieusement.
Les rayons du soleil pénétrant par la porte derriere Jade éblouissaient tout le monde. Mais rapidement, la silhouette se précisa et Yarwelh vit nettement Jade. Elle était visiblement heureuse. Tout comme Flavien non loin d'elle. C'était tout ce qu'on pouvait leur souhaiter.

Puis la cérémonie commença. La jeune femme récita silencieusement la confession. Puis le crédo fut récité à voix basse. Affirmer sa foi était de plus en plus dur pour elle. Elle avait du mal à croire à ce Très Haut qui retenait l'homme qu'elle aimait dans ce monastère depuis des mois. Alors clamer le crédo aurait été hypocrite.

Pendant la lecture, la mère regarda son fils. La lecture en elle mesme était certes adaptée mais souvent citée et Yarwelh avait assisté a plusieurs mariages. Sauf le sien diront certains.. Y comprit le père de Flavien surement. Aussi, les idées vagabondèrent légèrement, l'azur fixé sur l'ébène des cheveux encadrant sa merveille. La diaconesse la fit revenir en citant son nom. Elle leva donc les yeux avant de faire de mesme de son corps après une dernière caresse à son fils.

Elle se plaça à coté de Flavien, légèrement en retrait. Elle sourit aux deux jeunes gens. Pas un sourire rassurant, ils étaient déjà serein, pas besoin de cela. Mais un sourire marquant sa présence et le fait qu'elle était heureuse pour eux.

Je suis preste à assumer pleinement le rosle que messire Flavien m'a confié.

Anne en arriva la cérémonie était commencé depuis longtemps elle défroissa sa robe d'un geste de la main , en plus mis a part Jade et Erine elle ne connaissait pas grand monde aussi se plaça t elle au fond de la chapelle derrière un pilier a l'abri des regards, elle avait promis a Jade de venir elle tenait sa parole.

Cadeau donné à Jade, le Franc-Comte suivit sa nièce jusqu'à la chapelle où il reprit place avec son fils dans les bras au côté de son épouse Gallena et sa fille Lara pour suivre le début de la cérémonie. Que des souvenirs magnifique, dire que la dernière fois c'était eux qui traversait le couloir centrale pour se diriger vers l'autel. Le temps passe, les évènements merveilleux se répètent mais ne dite pas que Goclad est vieux si vous ne voulez pas d'un grand coup de pied au derrière et voler a travers la FC, de même que les deux, trois cheveux blancs sur sa tête ne sont pas dû à son âge relativement jeune, 21 ans, mais au poste de Franc-Comte qui l'usait.

Les deux formaient en merveilleux et magnifiques couples, une joie pour le Von Dumb de que voir sa nièce heureuse et dont il n'avait aucun doute sur l'amour que porte Flavien pour elle.
L'heure était venu au credo qu'il récita à voix basse et les yeux fermées, petite pensées aux membres disparues l'an dernier.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Son moment allait arriver et voila que le petit homme se réveillait avec de petits yeux épuisés de fatigue, pour vu qu'il ne crie et pleure pas, chuuuuutt pleure pas se dit-il avant d'avancer lors de son appel pour témoigner.

De ma présence aujourd'hui en la Chapelle de Saint-Syphaël, je confirme l'union de Messire Flavien Von Frayner et de ma chère nièce, Mademoiselle Jade de Sparte.

Les deux témoins ayant fait leur devoir, elle poursuivit.

Je vais procéder a la lecture des obligations mutuelles des époux :

Les époux se doivent mutuellement fidélité , secours et assistance en toute circonstance et tout au long de leur vie.
Ensemble vous devrez assurez la direction morale et matérielle de la famille au sein d’une vie commune et vous devrez protéger et éduquer du mieux que vous le pourrez votre progéniture dans l'amour du Très-Haut.

Elle monta légèrement le son de voix.

Si quelqu'un doit s’opposer à cette union , qu’il parle maintenant, ou qu'il se taise à jamais.

Elle esperait que Bobyzz ne ferait pas la meme chose qu'au mariage de Gallena.

Titannick regardait la cérémonie se dérouler le sourire aux lèvres.
Le bonheur qu'elle lisait sur le visage de sa nièce et de son compagnon lui réchauffait le coeur.
Que la vie semblait plus douce dans l'amour que dans la guerre !

Fermant les yeux, elle pria pour que ce bonheur dure le plus longtemps possible.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Les regards et sourires discrètement échangés avec son futur époux la ravissait, la ravissante rousse ressentait une complicité avec cet homme qui partagerait ses jours et ses nuits, et son coeur tressaillit dans sa poitrine sous l'émotion. La noble reporta son attention sur la diaconesse pendant la lecture du livre des vertus mais ne pouvait s'empêcher à l'occasion de diriger un regard doux en direction de Flavien. La noble était dans un état particulier, sereine, voir même béate de bonheur tout en essayant de se concentrer au mieux sur la cérémonie, elle se sentait désormais dans un univers restreint ayant la douce impression qu'ils n'étaient qu'eux deux, devant le Très-Haut représenté par sa cousine qui officiait.

Lorsque celle-ci les invita à s'avancer de même que leurs témoins, elle sentit le changement de rythme qui la rappela à ses devoirs. D'une main qui retenait son bouquet de fleurs, Jade souleva légèrement jupes et jupons, ne souhaitant pas s'étaler par terre de manière fort peu élégante le jour même de son mariage, et de l'autre la posa avec assurance sur le bras offert du Seigneur de Lignéville, s'avançant fièrement à ses côtés devant l'autel, rapidement rejoints par leurs témoins.

Ceux-ci prompts à leur devoir, sa parente put continuer avec la lecture des obligations des époux que la Dame de Châtenois écouta en regardant le futur marié dans les yeux, lui signifiant qu'elle comprenait ses devoirs et entendait bien les respecter. La suite s'avérait toujours la partie la plus éprouvante pour les mariés, la fameuse question ! Jade savait fort bien qu'il n'y avait pas objection à leur union mais ses yeux prirent subitement une lueur inquiète et elle leva ceux-ci en direction de son bien-aimé, y cherchant un réconfort et un soutien que lui seul put voir, le reste de son visage étant demeuré en parfaite maîtrise de son émotion. Elle avait déjà assisté à des mariages où cela c'était produit et bien que jeune, avait secrètement été de tout coeur avec les mariés. Il n'y avait qu'à espérer que les minutes de silence ne lui semble pas une éternité !

Elle regarda l'assemblée. Personne n'avait l'intention de parler à son plus grand soulagement.

Nous allons pouvoir continuer ...

Elle fît signe aux témoins de remettre les alliances à Jade et Flavien.

Dieu tout puissant , bénis toi même ses alliances , qui vont marquer physiquement l'union et le sacrement du mariage qui unis ces deux fidèles.

Jade de Sparte, Veux tu prendre Flavien Von Frayner ici présent pour légitime époux ?

Elle regarda sa cousine en souriant, attendant que celle ci réponde.

Le silence s'avérait un soulagement à son attente ! La lueur inquiète du regard de la jeune noble se dissipa en entendant sa cousine poursuivre la cérémonie, le moment crucial étant finalement arrivé !

La damoiselle de Sparte se tourna alors vers son promis et posa délicatement ses mains dans les siennes, elle l’avait aimé dès leurs premiers instants et savait qu’il en serait ainsi pour le reste de sa vie. Elle le regarda amoureusement, plongeant ses yeux azurs dans les siens et répondit à la question d’Efriede d’une voix assurée

Oui, je le veux ! Je m’unis à vous mon très cher Flavien, libre et sans contrainte, avec pour seul but de vous rendre heureux et espérer vous combler par cet amour que j’éprouve pour votre personne. Je vous fais la promesse solennelle de vous aimer de tout mon cœur et toute mon âme, de vous respecter en tout instant et d’être d’une fidélité absolue, et ce, chaque jour de ma vie que le Très-Haut m'accordera auprès de vous. Je souhaite être pour vous une épouse aimante et tendre, présente à vos côtés, dans l’adversité comme dans les instants de bonheur et le moment venu, j’accueillerai avec joie les enfants qu’Aristote jugera bon de nous confier et les aimerai du même amour inconditionnel que je ressens pour vous car mon engagement en ce jour puise sa sincérité à même la source de l'amour profond que j'éprouve pour vous, mon aimé !

La future mariée avait débité son engagement d'un trait et s'était laissé emporter par l'émotion vive du moment. Elle baissa alors les yeux, émue, pendant qu'elle essayait de se dominer et surtout que son cœur reprenne un rythme normal après l'avoir autant étreignit. Alors que le soleil se couchait et que l'astre du jour inondait la chapelle de ses derniers rayons à travers les vitraux, Jade releva les yeux vers son futur époux et lui adressa un sourire empreint de chaleur et de douceur, accentuant à peine la pression de ses mains dans les siennes, sachant qu'il devrait à son tour, répondre à la question !

Les deux témoins s'étaient avancés, et avaient parfaitement rempli leur rôle. Suite à cela, Elfriede lu les obligations mutuelles que Jade et lui devait se promettre! Des promesses qui constituaient les devoirs de l'homme noble, et le jeune Flavien devait ne jamais manquer à ceux-là et trahir sa parole! Il laissa échapper furtivement un léger bruit

Oui j'accepte ces devoirs...

Il regardait Jade au moment de prononcer ces paroles, et ne manqua pas de lui donner un autre de ses doux et délicats sourires, renouvellement l'affection qu'il lui portait avant le moment fatidique!
Heureusement personne ne s'opposait à ce mariage, soulagé la cérémonie pouvait suivre son cours.
Enfin le grand moment arrivait! Les témoins amenèrent les alliances, et l'officiante posa la fameuse question à Jade! Le cœur de Flavien s'emballa soudainement, et l' émotion lui fit perler le front de sueur... de sueur d'amour bien sur. La jeune femme entrouvrit la bouche et un oui y prit forme. Le frayner perdu, confus, et ému n'entendit pas la suite de ses paroles! Il était totalement emporté par le oui, qui faisait de lui l'homme le plus heureux et le plus comblé de cette terre! Le jeune homme avait une irrésistible envie de l'embrasser, et de l'emmener pour la chérir et l'aimer!
Les mains, les unes dans les autres, jouaient avec de délicates pressions, s'amusant ainsi des émotions de Flavien.

Le grand moment pour lui allait arriver, et l'apparente simplicité de la réponse, paraissait un mur dans son accomplissement d'homme... Un mur qu'il allait franchir!

Ravie de la réponse de sa cousine, elle se tourna alors vers le futur marié et lui posa la même question.

Flavien Von frayner , Voulez-vous prendre Jade de Sparte ici présente pour légitime épouse ?

Enfin la question qu'il attendait tant! le fameux "voulez vous prendre", et toute l'émotion qui se dégage de cet événement. Cette fois-ci, c'était lui l'élément central, c'était lui qui ressentait toutes ces émotions, et il pouvait enfin se permettre librement d'échanger de doux regards complices à sa Jade, prémices de son futur OUI!
Un dernier sourire crispé et à la fois tellement détendu, puis il répondit à l'officiante d'une voix claire et portante

Oui je le veux!
Je la chérirai le temps que me laisse le très haut sur cette terre, chaque jour, chaque heure, chaque minute et chaque seconde..
Je promets d'être le peintre de nos moments les plus heureux.
Je promets de la consoler et de la soutenir dans les moments les plus difficiles et de transformer chacune de ses larmes en seconde de sourire.
Je promets de la respecter et d'être fidèle.
Je promets de défendre ses intérêts ainsi que ceux de sa famille.

Pour résumer, je serai l'heureux esclave de la femme la plus merveilleuse au monde, prêts à l'aimer sans retenu et sans condition!

Il reprit son souffle, et attendit maintenant le baiser qui cèlerait leur union pour toujours...

Elfriede était émue des vœux échangées et une petite larme envahis ses yeux. Elle leur sourit puis les laissa Flavien et Jade échanger leurs alliances. Elle savait que cela faisait longtemps qu'il attendait ce moment la .. donc elle ne tarda pas à prononcer la phrase qu'ils attendaient surement depuis le début de la cérémonie.

Par les pouvoirs qui me sont conférés, je vous déclare mari et femme !

Elle regarda Flavien

Vous pouvez embrasser la mariée !

C'était le moment ou les témoins pouvaient formuler le bonheur qu'ils souhaitaient aux époux, s'ils le souhaitaient.

Le regard de Flavien à son endroit ne laissait planer aucun doute quant à sa réponse et la jeune noble sentit sa gorge se nouer en l'entendant prononcer son « oui je le veux » d'une voix si assurée. Mais le reste de son engagement la bouleversa à chaque nouvelle parole, la conviction dans le ton, les mots choisis et l'émotion ressentie eurent tôt fait d'arracher à la fois larmes et sourires à la jeune fille ! Elle n'aurait pu rêver de déclaration plus emportée ni d'engagement plus solide, il la comblait déjà de bonheur et les mains de Jade serrèrent un peu plus fort celles de son futur époux.

Ces mêmes mains qu'elle tenait fermement la rappelèrent à son devoir et elle se tourna vers son témoin qui lui remit l'alliance qu'elle avait soigneusement choisi pour le compagnon de toute sa vie. La damoiselle de Sparte prit la main gauche de son fiancé et glissa délicatement l'anneau à son annulaire en lui murmurant à l'oreille

Flavien, je vous reçois comme époux et j'accepte d'être votre tendre épouse. C'est au comble du bonheur que je vous remets cette alliance, signe perpétuel de mon éternel amour et de ma constante fidélité !

Elle était trop émue pour parler plus fort et davantage, tentant de se dominer, ses sentiments passèrent alors dans l'étreinte de ses mains et le regard amoureux qui était dirigé vers l'homme qu'elle avait choisi pour partager sa vie. Alors que Flavien passait l'alliance à son doigt, la jeune fille ne put réprimer une larme silencieuse qui vint s'échoir sur sa joue tant le bonheur la bouleversait. C'est alors que les paroles solennelles de la diaconesse se firent entendre... ils étaient mariés !!! Enfin ! La joie inonda son visage alors que le soleil se couchait sur les terres de Salins... et elle répétait inlassablement les mots dans sa tête en regardant son époux, prise d'un élan soudain de l'embrasser alors qu'Elfriede lui donnait justement la permission d'embrasser la mariée !

Pegasine était émue.
Sa petite cousine rayonnait d'être enfin uni à cet homme qu'elle aimait de tout son coeur.

Beaucoup voyaient les mariage de la noblesse comme des mariages arrangés mais Jade et Flavien prouvaient de la plus belle des façon qu'un mariage d'amour cela existe aussi dans le milieu de la noblesse.

Princess se pinça les lèvres et essuya ces yeux...pour ne pas fondre en larmes..
oui cela lui paraissait beau toute cet étalage de belle paroles, comme on lui en avait promis quelques années auparavant et même il y a quelques mois..
mais pour elle cela était choses a ne plus penser. pas un noble ne voudrait d'elle, surtout une femme divorcée et avec 3 enfants..
elle pensa se tourner vers la sainte église et se consacrer a être la Gouvernante d'un prélat ou sa vertu légendaire lui ferait bon office..
elle ne voulait que le bonheur de ces enfants et ne plus penser a elle..
son Doux ami la poussait même vers cette voie....
elle regarda du côté de Pegasine et lui fit un sourire bien heureuse de la voie enceinte..et pour une fois ce n'était pas elle qui se trouvait a la place de ces deux amie..
elle avait su que son amie Dina elle aussi venait de convoler en juste noce..
ahh, ces amies se mariaient et était heureuses, et cela lui fit plaisir...

Yarwelh suivait la cérémonie sagement. Et oui sagement. Étonnant pour elle. Pourtant c'était pas l'envie qui lui manquait. Là où cela la démangea le plus c'était quand on avait demandé si quelqu'un s'opposait au mariage. Cela aurait été le père du marié, il aurait été probable qu'elle aurait fait entendre sa voix. Mesme si c'était pour ne rien dire, juste le faire tourner en bourrique. Tout comme le jour où il l'avait anoblit. C'était d'une droslerie malgré qu'elle n'avait guère envie de devenir noble.
Mais là... bon elle se serait surement pas gesnée face à Flavien, mais il y avait aussi Jade et sa famille. Et Jade ne l'avait jamais fait tourner en rond. Aussi se contenta-t-elle de se tenir droite derrière Flavien, regardant autant son fils que le déroulement de la cérémonie. Son fils avait l'air tranquille. Au moins la nuit de repos lui avait été favorable et il n'était plus agité comme en fin de parcours la veille. Heureusement pour les oreilles de tout le monde car Enguerrand tenait de sa mère: il avait de la voix quand il n'était pas content. Mais non, tout se passait normalement.

Si bien que Yarwelh devait déjà s'approcher. Les jeunes gens finissait d'échanger leur voeux. Et la jeune mère faisait attention à sortir la bonne boite. La première contenait l'alliance qu'elle tendrait au futur marié dans un instant. La deuxième était pour un peu plus tard, quand elle verrait le couple en privé après le mariage.
Le petit coffret ouvert, elle le tendit, souriante, à son ami. L'anneau l'unirait à la femme qu'il aime. Elle en avait presque les larmes aux yeux. Mais l'émotion, hormis peut-estre la colère, elle savait la maitriser. Aussi, aucun émoi trop fort ne fut visible sur son visage.

Lors du baiser du couple, Yarwelh eut soudain de nouveau très envie qu'Olivier soit là. Ne pouvait-il pas arriver comme à Vittel? Sortir de derrière une tenture et venir l'embrasser au dépend des conventions? Mais non, rien ne vint pour elle. Hormis le temps d'un petit discours. Elle aurait préféré le faire plus tard, autour d'un diner mais vu qu'elle n'avait pas le choix, autant se lancer.

Bonjour à tous.
Ceux qui me connaissent savent que je ne suis pas bonne oratrice et que je ne serais pas longue. Pour les autres, je crois qu'une présentation s'impose.
Je suis Yarwelh de Lacombe, une amie de Flavien.
Il y a longtemps de cela déjà, j'ai rencontré un homme en taverne. Il était entre autre insouciant, rieur et charmeur.
Nous avons passé des heures et des heures en taverne, à nous amuser avec d'autres amis. Son frère, ma soeur de coeur et plusieurs proches dont la plupart aujourd'hui disparus.
Puis est venu le temps de quelques responsabilités. Celles ci sont allées croissantes. Notamment pour cet ami dont je me suis éloignée, tant physiquement qu'amicalement. Puis j'ai traversé le royaume de France pour retourner en Lorraine dans l'unique but de venir à son mariage avec une jeune femme charmante.
Je n'aurais jamais pensé ce jour là que je serais un jour le témoin au mariage de son fils.

Tout comme son père, Flavien peut me rendre chèvre. Avec leur taquinerie ou tout simplement en étant seulement eux mesmes. Je finirai surement folle à passer trop de temps avec l'un ou l'autre.
En effet, je retrouve en Flavien son père lorsque je l'ai rencontré la première fois. Insouciant, moqueur et charmeur bien que sérieux dans les travaux qu'il entreprend.

Pourtant, aujourd'hui, je suis ici avec vous que je remercie pour vostre présence. Pourquoi? Car malgré tout, l'amitié que je leur porte est grande. Flavien est un homme droit et intègre, fidèle envers les personnes qu'il apprécie.
Pour cela, je lui souhaite tout le bonheur qu'il souhaite avec Jade.

Dame Jade. Que dire sur vous? Je vous connais peu, vous ayant rencontré que dans quelques réceptions officielles ne prédisposant pas à faire réellement connaissance. Bien sur je vous connais à travers les paroles de Flavien, mais je doute qu'elles soient des plus objectives. Petit rire.
Mais du peu que j'ai pu voir, vous estes une personne des plus charmantes et vostre compagnie appréciable. Vostre beauté et vostre fraicheur, surtout ce jour, ne fait qu'augmenter l'envie de vous connaistre.
Je vous souhaite donc bon courage avec Flavien, un bonheur profond, un amour inconditionnel et.... beaucoup d'enfants.

Longue vie aux mariés!

Après avoir tout dit, ou du moins pensait avoir tout dit, Yarwelh se tut.

Enfin avait il dit oui, et il était maintenant l'heure des alliances. Le frayner appela sa témoin Yarwelh, qui lui remit l'anneau choisi! Il était doré, avec gravé dessus, la date du mariage, et une phrase écrite par Flavien montrant tout son amour à sa future... proche!

Jade de Sparte von Dumb, je vous remets cet anneau comme signe éternel de mon amour!

Une fois l'anneau passé au doigt, il embrassa Jade, et profita de ce moment unique de bonheur!

Puis, alors qu'il ne s'y attendait pas, la dame de Fraize, Yarwelh prit la parole, retraçant le pourquoi de leur relation, et de pourquoi elle était si forte. Ses paroles le touchèrent, et il manqua de peu, avec toutes les émotions précédentes, de fondre en larmes! Mais la fierté l'en empêchait!

Enfin il était marié, et sa vie d'adulte pouvait commencer! Il se devait d'honorer son père, et le jeune homme avait à cœur de ne pas faillir.

Il l'avait embrassée ! Leur premier baiser en tant que mari et femme ! La jeune noble se sentit au comble du bonheur et eut peine à contenir des larmes de joie. Elle regarda son époux les yeux brillant de mille éclats et ses yeux se dirigèrent vers l'assemblée, souriant à sa mère, sa famille, celle de Flavien qui était désormais aussi la sienne et à ses amis, ils étaient là pour un événement important de leur vie et Jade se montrait fort reconnaissante. Ses yeux azur s'attardèrent davantage sur les personnes qui l'avaient protégée et aimée, leur signifiant qu'elle leur devait une parcelle de ce bonheur si grand.

La Dame de Fraize, témoin de son cher époux, s'avança pour parler et la mariée fut touchée par ses paroles. Elle ne l'avait côtoyée que peu dans, ce que Jade qualifiait de « événements d'église qui réunissent les parents et amis même en déplacement » ainsi qu'une fois en taverne où la jeune fille à force de se faire dire de la tutoyer plutôt que de la vouvoyer avait fini par bafouiller à force de se mélanger ! Elle s'était tout de même senti une affinité avec la Dame et espérait qu'elles auraient à davantage se connaître.

Les époux signèrent les registres officiels et Jade se tourna vers l'assemblée

Je vous invite à poursuivre les réjouissances dans une salle attenante à la chapelle pour faire le plein de victuailles et y vider les bonnes bouteilles qui s'y trouvent !

La mariée posa fièrement la main sur le bras de Flavien et ils sortirent en saluant de la tête chaque personne présente pour se diriger vers la petite salle prévue pour satisfaire les gourmands et pochetrons qui se trouvaient parmi les invités.

[Salle de réception]

Le fidèle Tancrède était fidèle au poste et la jeune fille s'approcha en lui demandant si tout était prêt auquel cas il répondit prestement que oui, sachant pertinemment que la réponse n'aurait pu être le contraire. Jade prit donc les verres qui lui tendaient et en donna un à son époux

Je vous aime Flavien !

La mariée en profita pour l'embrasser avant que le reste des invités ne les rejoignent.

L'Espagnol avait une petite larme à l'oeil, son amie de toujours etait devenue une femme, la voila marié. Il voyait Jade heureuse comme elle ne l'avait jamais été, se disant qu'elle le méritait plus que tout au monde. Un peu de tristesse et de nostalgie sachant qu'elle allait vivre des jours heureux en Lorraine, mais ce ne serait qu'un au revoir... en aucun cas des adieux. Il vit Dame Katarina, se rendit près d'elle afin de la saluer discretement.
Un regard vers les jeunes marié , il attendit un instant avant de les rejoindres afin de les félicités et de leurs souhaiter tout le bonheur du monde .

Yarwelh était réellement heureuse pour le couple. Mais sa réjouissance n'allait pas jusqu'à lui donner faim. Mesme la mirabelle ne lui donnait guère très envie.
Elle devait toutefois tenir son rang, faire honneur à ses hostes, et faire plaisir aux jeunes mariés.
Elle se rendrait donc dans la salle attenante à la chapelle pour la suite des festivités.
Toutefois, une nécessité requérait son attention avant. Son fils. Dès que le couple s'avança dans l'allée, elle souleva légèrement ses jupons et se dirigea prestement vers la nourrice. Bien qu'elle fasse confiance à celle ci, la jeune mère préférait Enguerrand en ses mains plus qu'à toutes autres. Hormis peut estre celle de son père. Mais vu qu'il ignorait jusqu'à l'existence de ce petit estre, elle n'espérait plus qu'il le prenne dans ses bras.
Une fois la dame rassurée, celle ci fit venir un laquais. Il tenait deux paquets dans ses mains. C'était pour cette raison que Yarwelh tenait tant à voir les principaux sujets du jour en quasi teste à teste.
Le premier était tout petit. Le second un peu plus grand. Tout deux étaient protégés par un fin tissu or et azur, couleurs de son fief. Les présents eux mesme étaient en réalité la symbolique de ses terres. Car malheureusement, elle n'avait rien de plus représentatif d'elle mesme que cela. Pas de grande famille comme celles réunies ce jour, pas de legs ancestraux et le peu qu'elle possédait avait été acquis par elle mesme. Par bonheur, l'ornement de son blason correspondait à la dame: la rose. Belle mais sauvage. Une teste douce et jolie telle les pétales duveteuses, mais les épines piquantes et indomptables juste en deçà.

Faisant un signe au laquais et à la nourrice pour qu'ils lui emboitent le pas, elle suivit enfin la masse d'invités dans la salle de réceptions.
Bon nombre de personnes voulaient discuter avec le couple, les féliciter et cela se comprenait. D'autres au contraire, se dirigeaient de prime abord vers les victuailles et faisaient déjà ripailles.
Dédaignant mangeurs et buveurs ainsi que la source de leurs méfaits, Yarwelh attendit patiemment qu'elle puisse voir Jade et Flavien à son tour, dans une relative tranquillité.
Lorsque l'occasion se présenta, elle tendit, à regret, Enguerrand à la nourrice, prit les paquets des mains du valet avant de le congédier. Elle offrait de ses mains les présents qu'elle faisait, qu'elle que soit le statut et les relations avec le receveur.

Dame Jade. Flavien.

Félicitations. Je vous souhaite tout mes vœux de bonheur.
J'aimerais aussi vous offrir en guise d'amitié et de sincérité de mes propos ces présents.

Règles de bienséance obligeant, elle commença par celui de Jade.
Sous le tissu, elle sentait l'écrin à bijoux. Celui ci, extrêmement simple hormis une discrète rose sur le bois, contenait une bague qui elle était finement ouvragée.
L'anneau en or était orné d'une rose taillée dans ce que les marchands appelaient corail. Une sorte de pierre rouge orangée venant de l'orient et qui permettait le raffinement nécessaire pour ciseler avec précision la fleur et imiter son réalisme.

Elle offrit ensuite une dague* à Flavien. Celle ci était assortie à la bague de l'épousée. La lame, courte et droite tenait dans un fourreau de cuir noir. Il ne se distinguait des autres que par la présence d'une dorure: FvF. La soie était par contre filetée en spirale par un fil d'or.
Entre la lame et la soie, la garde protègerait la main de celui qui la tiendrait par des arabesques dorées. Celles ci rejoignaient naturellement et avec grasce le pommeau de l'arme. Pour des raisons d'équilibre et de maniabilité, le corail, trop léger pour contrebalancer le poids de la lame, n'avait pu estre utilisé pour celui ci. Il était toutefois surmonté de la rose de Fraize, tout aussi finement ouvragées que celle de la bague.

Ce n'était certes peut être pas un énorme présent, mais c'est ce qu'elle avait trouvé de mieux à leur offrir.

* La description de la dague est en fait celle d'une épée ayant réellement existé, hormis la rose sur le pommeau. Elle ressemblait étrangement à celle ci bien qu'ayant quelques différences, notamment sur les motifs de la garde.

La jeune femme, enfin étant désormais mariée Jade se considérait dès lors comme une femme, n'eut le temps que pour une seule gorgée que déjà les invités arrivaient pour les féliciter. Elle avait tenu sa mère longuement dans ses bras, chaleureusement et tendrement, sa première accolade de sa nouvelle vie, voulant lui transmettre toute la joie qu'elle éprouvait à cet instant. La magnifique rousse prenait des nouvelles de tous et chacun, les invitaient à se ravitailler, accueillait avec bonheur les voeux. Entre deux invités, la noble glissa à l'oreille de son époux

Je suis comblée d'être votre épouse mon aimé... quelle joie ! Nous sommes enfin mariés !
Alors qu'elle disait cela, elle vit arriver la Dame de Fraize qui leur offrait ses souhaits de bonheur ainsi que deux paquets soigneusement décorés à ses couleurs qu'elle leur remit. La jeune mariée ayant reçu le sien en premier, l'ouvrit avec soin, pour y découvrir une boîte, levant des yeux étonnés vers Yarwelh, puis se décida à regarder à l'intérieur pour y découvrir une petite merveille... Jade, bouleversée regarda la généreuse donatrice puis Flavien et leur sourit à tous les deux, se retenant quelque peu pendant que le marié découvrait ce que recelait le sien dont le cadeau était aussi magnifique !

Oh ! Mais ce sont de superbes cadeaux ! Je vous... te.... zut.... remercie !

Voilà, elle avait recommencé à bafouiller ! Elle lui avait demandé de la tutoyer et la rouquine se mélangeait déjà ! Néanmoins reconnaissante du présent, elle se répandit en remerciement, admirant les deux chef d'oeuvre qu'elle avait sous les yeux, dirigeant tendrement son regard vers l'homme qui partagerait désormais sa vie avant de conclure

C'est admirable ! De véritables oeuvres d'art ! Et quel goût exquis ! Oh ! Merci beaucoup !

La nouvelle mariée, plutôt encline à l'émotion en ce jour, réagit spontanément en donnant une légère bise sur la joue de Yarwelh, puis réalisa qu'elle avait été sûrement un peu trop enthousiaste et sentit que ses joues prirent une légère coloration rosée.

La cérémonie venant tout juste de finir, les deux amoureux étaient l'un à côté de l'autre, réalisant lentement qu'ils venaient de se dire oui pour la vie. Désormais leurs destins étaient liés, et le couple devrait avancer ensemble..
Bref, après quelques minutes Yarwelh s'approcha des deux jeunes, accompagnée de servants, portant deux gros paquets!

chouetteeee!!! des cadeaux pensa Flavien, mais il n'osa le laisser transparaitre..

La dame de Fraize commença tout d'abord par celui de Jade! Un magnifique bijou fait d'une main d'orfèvre. Le jeune homme restait admiratif du travail, et sourit à sa femme, qui paraissait bouleverser par le présent. La nouvelle Von Frayner s'empressa de remercier chaleureusement sa témoin.
Puis vint le tour de Flavien, il reçut une dague magnifique, aux armes de Yarwelh. Une perle entre ses mains, le frayner mit quelques coups dans le vent, admirant la maniabilité, la légèreté et l'équilibre de la lame..

Il la mit fièrement autour de la taille, protégée par la dague, puis sans alla remercier la vieille, la belle, l'éblouissante Yarwelh.

Merci !! Tu es merveilleuse, ce présent est digne de ma grandeur.. oupss... de ta grandeur, et de ta beauté. Tu es l'amie en qui j'ai le plus confiance et je te remercie encore, d'être présente à nos côtés aujourd'hui.
En espérant qu'on soit la l'un pour l'autre le plus longtemps possible... Malgré ton âge avancé.

Puis il la serra chaleureusement dans ses bras, avant de laisser se poursuivre la cérémonie, si poursuite il devait y avoir..

» Bapteme de Jade von Dumb de Sparte